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Au printemps prochain, des milliers de jeunes décideront de se passer d’écrans de loisirs pendant 10 Jours.

Du 23 mai au 1er juin 2023, dans des dizaines de communes, des centaines de crèches, d’écoles, de collèges et de lycées proposeront aux jeunes qu’ils accueillent de se passer d’écrans de loisirs avec l’aide des familles, des associations et des collectivités locales.

Télévisions, jeux vidéos, consoles, tablettes et smartphones resteront au placard pendant dix jours, tandis que des dizaines de milliers d’enfants et d’adolescents livreront un match de très haut niveau face à des adversaires redoutables !

42 structures inscrites, soit 6 086 enfants et adolescents concernés

  • 01 000 Bourg-en-Bresse, Ecole primaire Charles Jarrin, 150 élèves.
  • 01 300 Chazey-Bons, Ecole primaire, 130 élèves.
  • 08 300 Tagnon, Ecole primaire Pierre Toufflin, 90 élèves.
  • 13 014 Marseille 14e Arrondissement, Ecole élémentaire Sainte-Marthe, 17 élèves.
  • 13 410 Lambesc, Collège Jean Guéhenno, 180 élèves.
  • 13 860 Peyrolles-en-Provence, Ecole élémentaire Toussaint Barthomeuf, 200 élèves.
  • 14 370 Valambray, Ecole primaire Edmone Robert, 150 élèves.
  • 18 000 BOURGES, CREPS Centre Val de Loire, 80 élèves.
  • 25 170 Emagny, Ecole maternelle, 75 élèves.
  • 25 400 Taillecourt, Ecole primaire, 100 élèves.
  • 30 000 Nîmes, Ecole élémentaire privée Valsainte, 500 élèves.
  • 33 140 Cadaujac, Ecole élementaire Alienor d'Aquitaine, 100 élèves.
  • 33 320 Eysines, Ecole primaire Migron, 230 élèves.
  • 33 760 Targon, Ecole primaire Jules Ferry, 230 élèves.
  • 34 160 Saint-Drézéry, Ecole élémentaire, 252 élèves.
  • 38 100 Grenoble, Ecole primaire Libération, 44 élèves.
  • 38 230 Pont-de-Chéruy, Multi-accueil Les'Touches'Chats'Tout, 35 enfants.
  • 41 700 Cour-Cheverny, Ecole primaire privée Saint Louis, 28 élèves.
  • 44 310 Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, Ecole élémentaire publique Jean Rostand, 220 élèves.
  • 46 000 Cahors, Ecole élémentaire Lucien Bénac Terre Rouge, 125 élèves.
  • 51 130 Blancs-Coteaux, Ecole primaire privée Saint Joseph, 125 élèves.
  • 55 000 Bar-le-Duc, Lycée Raymond Poincaré, 90 élèves.
  • 55 000 Brillon-en-Barrois, Ecole primaire publique Jean-Louis Grésil, 81 élèves.
  • 56 450 Le Hézo, Ecole primaire publique Vert Marine, 80 élèves.
  • 57 000 Metz, Ecole primaire privée St Etienne, 300 élèves.
  • 62 360 Saint-Léonard, Ecole élémentaire Aurore, 120 élèves.
  • 64 130 Chéraute, ECOLE PRIMAIRE PRIVEE IKASTOLA EPERRA, 80 élèves.
  • 64 250 Souraïde, ECOLE PRIMAIRE PRIVEE SACRE COEUR, 60 élèves.
  • 64 800 Nay, ECOLE PRIMAIRE PRIVEE SAINTE ELISABETH, 172 élèves.
  • 65 000 Tarbes, Ecole élémentaire Henri IV, 45 élèves.
  • 69 200 Vénissieux, Ecole élémentaire Centre, 350 élèves.
  • 69 650 Saint-Germain-au-Mont-d'Or, Ecole élémentaire Françoise Dolto, 258 élèves.
  • 70 100 Gray, Ecole primaire Moise Lévy, 200 élèves.
  • 75 012 Paris 12e Arrondissement, E.E.A.PU PICPUS EB 56 rue de Picpus, 250 élèves.
  • 78 140 VELIZY VILLACOUBLAY, MA Lucioles - VELIZY VILLA., 60 enfants.
  • 78 280 Guyancourt, Ecole élémentaire Charlemagne, 130 élèves.
  • 91 300 Massy, Ecole élémentaire privée Groupe Scolaire Educ'Etic, 160 élèves.
  • 91 300 Massy, Ecole secondaire privée Educ' Etic, 150 élèves.
  • 92 150 Suresnes, Ecole primaire privée Saint Leufroy, 31 élèves.
  • 92 500 Rueil-Malmaison, Collège Notre-Dame, 150 élèves.
  • 93 250 Villemomble, Ecole maternelle Galliéni, 230 élèves.
  • 95 380 Louvres, Ecole élémentaire La Fontaine Sainte-Geneviève, 28 élèves.

En 2025, 799 structures inscrites, soit 119 454 enfants et adolescents concernés

En 2024, 509 structures inscrites, soit 67 577 enfants et adolescents concernés

En 2023, 463 structures inscrites, soit 59 331 enfants et adolescents concernés

En mai 2018, près de 5000 jeunes dans 34 structures du Pays Basque, du Béarn, de Vendée et de Paris avaient réussi l’exploit de se passer d’écrans de loisirs pendant 10 jours, aux mêmes dates.

En mai 2019, le défi concernait près de 6000 jeunes dans 52 structures du Pays Basque, du Béarn, d’Ariège, d’Alsace et de Bretagne.

En mai 2021, plus de 17 000 jeunes y participaient dans 133 structures.

En 2022, 278 structures inscrites, soit 38 215 enfants et adolescents concernés.

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Segundo(s)

Destinée aux établissements scolaires (écoles, collèges, lycées) et aux structures d’accueil de la petite enfance (crèches, jardin d’enfants, etc.), l’inscription est libre et gratuite.

Le DÉFI est un exercice de consommation responsable et de santé mentale. C’est une mobilisation sociétale qui permet de réduire la violence physique et verbale, la sollicitation publicitaire et l’obésité.

Il aide à mieux délimiter la frontière qui sépare les écrans qui rendent service des écrans qui asservissent. Et les retombées sur le climat scolaire et le resserrement des liens familiaux sont réelles.

Le Défi sans écrans est réalisable partout où des parents et des enseignants conviennent
d’unir leurs efforts pour rendre les enfants capables de le relever.

Le défi collectif en chiffres

Communes contaminées

Structures inscrites

Défis individuels relevés

Comment fonctionne le défi ?

Il consiste à proposer à l’ensemble des enfants d’une école de relever le défi de passer 10 jours sans écrans de loisirs (télévision, tablette, ordinateur, console de jeux, smartphones…). En contrepartie, les enfants sont invités à participer à des activités organisées par l’école, les parents, les associations ou les collectivités territoriales, sur les temps habituellement passés devant les écrans.
On gagne un point chaque fois qu’on se passe d’écran sur cinq temps précis de la journée pendant toute la durée du défi (le matin avant d’aller à l’école, à midi, au retour de l’école, pendant le repas du soir, avant de se coucher). Chaque élève tient quotidiennement à jour son carnet de bord. On n’organise aucune compétition entre élèves, au contraire, on cumule quotidiennement les points de la classe ou de l’école de manière à vivre le défi comme une réussite collective et à s’encourager les uns les autres, comme dans une équipe au cours d’un match.
Deux principes essentiels : liberté et honnêteté. Chacun reste libre de participer ou pas au défi. Chacun peut le faire à sa mesure. Les adultes de l’établissement font également le défi et n’hésitent surtout pas à faire part des difficultés qu’ils éprouvent à résister aux écrans de loisirs pendant 10 jours.

Peut-on organiser le défi dans un établissement scolaire ?

Si vous êtes directeur ou enseignant, vous pouvez inscrire votre établissement ou votre classe en ligne. Avant et pendant le défi, les enseignants mènent un travail pédagogique de réflexion et de prise de recul sur les écrans (activités préparatoires et outils pédagogiques disponibles sur le site www.edupax.org). Des carnets de bords seront disponibles au téléchargement. S’ils le souhaitent, pendant les dix jours, des enseignants peuvent proposer aux élèves des activités de découverte et de rencontre sur les temps hors classe.

Peut-on organiser le défi dans une crèche ?

De plus en plus de spécialistes nous alertent sur les méfaits de la surexposition aux écrans des très jeunes enfants. Le défi 10 jours sans écrans peut-être une manière de sensibiliser et de prévenir dès le plus jeune âge. Si vous êtes responsable d’une crèche, vous pouvez inscrire votre établissement en ligne et proposer au personnel, aux parents et à leurs enfants de participer au défi.

Comment contribuer au défi ?

Parents d’élèves :
Les associations de parents d’élèves peuvent proposer aux enfants et aux familles des activités à faire en dehors des heures de classe, à 16h30, le mercredi après-midi et le week-end, (jeux de société, atelier cuisine, potager, fabrication de cerf-volant, origami, sorties, ballades, pique-nique, soirée etc…) sur la période du 14 au 23 mai 2019. Elles peuvent également organiser une conférence ou un débat autour du thème des écrans. Certains organismes peuvent apporter des aides financières à ce type de projet.
Associations :
Les associations peuvent proposer des activités de découverte et de sensibilisation, dans leurs locaux, sur des sites, ou dans les écoles pendant les dix jours du défi.
Médiathèques :
Les médiathèques peuvent proposer des animations et des ateliers en dehors du temps scolaire sur toute la durée du défi. Elles peuvent aussi mettre le carnet de bord à disposition de familles qui voudraient participer au défi.
Municipalités :
Les municipalités peuvent contribuer au défi 10 jours sans écrans 2019 en proposant des animations et des ateliers sur toute la durée du défi, en contribuant à la communication du projet dans la commune (ex : affichage municipal), en facilitant la fabrication et la mise à disposition des carnets de bord, en proposant des réductions ou des promotions dans l’accès aux sites municipaux habituellement payants (piscine, musée, jardin botanique etc…) aux enfants qui présentent leur carnet de bord pendant le défi.
Particuliers :
Les particuliers qui veulent soutenir les jeunes dans leur défi peuvent écrire une lettre manuscrite aux classes et aux écoles qui participent au projet.
Artistes :
A l’image de S.A.O. Plasticien qui avait réalisé un collage éphémère géant sur la façade d’une école d’Urrugne en 2017, les œuvres artistiques participent à la réflexion qui peut être menée par les élèves sur des sujets de société.

L’union fait la force, et nous invitons toute la société à se mobiliser autour de ce thème et à apporter de manière créative sa contribution à un projet éducatif et collectif.

Crèches, écoles, collèges, parents, associations, artistes, médiathèques, municipalités, musées, monuments, sites, particuliers, chacun peut apporter sa pierre à l’édifice.

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